L’un des plus célèbres westerns de l’histoire du cinéma est on s’en souvient “Il buono, il brutto, il cattivo” ou en version francise “Le Bon, la Brute et le Truand”
Ce trio me rappelle Zalensky, Poutine et Biden dans la guerre actuelle en Ukraine.
Mais tout d’abord un mot sur les victimes, citoyens ukrainiens et jeunes soldats russes. Comme dans toutes les guerres les politiciens au pouvoir décident de commencer la guerre, la perdurer ou la stopper et ce sont le peuple et les soldats qui paient au prix fort les conséquences.
Le bon ? Je n’ai pas trouvé de bon dans ce trio.
Le but de Zalensky n’est pas d’avoir raison mais d’inspirer l’empathie, qu’il sait faire comme quelqu’un qui vient du monde de la télévision. Et à force de vouloir avoir raison , de multiplier les mensonges et manipulations médiatiques (hôpital d’enfants bombardé, site atomique de Chernobyl en feu, etc..etc..) il ne cherche nullement à stopper la guerre et le fait que chaque jour s’ajoutent des morts et des destructions massives de villes/villages. Continuer que pour se faire passer pour la victime n’est pas un but en soi. Et pourtant tous les jours il se (re)produit en direct dans tous les parlements et institutions mondiales. Ce qui décidera de la guerre, ce sont précisément les actions, les combats sur le terrain et les mesures prises par les parties et les pays du monde. Les paroles n’ont de pouvoir que lorsqu’elles mènent à des actes. Zalensky ne peut agir, il n’a pas de pouvoir c’est un agent americain et que le russe veut reprendre sous sa tutelle .
Donc on n’est plus sur le film “le bon, la brute et le truand”
La brute ?
La brute sans aucun doute c’est Poutine qui veut par la force des armes arriver à son but.
Le truand ?
Le truand n’est autre que Biden qui avec l’Amérique depuis la chute du mur de Berlin en 1991 a agrandi l’Otan et a fait de l’Ukraine son agent et son champs d’essai (laboratoires de recherches sur les virus, blanchiment de l’argent du fils Biden, Ukraine gate ect…). L’Ukraine n’est pas libre mais au service de ….
Biden de plus, utilise des insultes, vexations ect… envers Poutine, “criminel de guerre”, “nazi”, “fou’ etc… qui sortent du langage diplomatique entre nations même en guerre.
Donc notre version 2022 de “Il buono, il brutto, il cattivo” s’intitulera “l’agent, la brute et le truand”
L’histoire moderne nous a prouvé qu’en politique internationale il n’y a pas de bons, il n’y a que des truands avides de force et de pognon.
PS: Et un mot sur le discours de Zelensky à la Knesset (parlement) israélienne
Comparer la situation en Ukraine à l’Holocauste n’a pas eu l’effet que le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait apparemment espéré.
Quand le président de l’Ukraine, bien qu’il soit juif, compare ce que son peuple traverse avec ce que le peuple juif a vécu, il commet une erreur. Il ajoute l’insulte à l’injure lorsqu’elle est historiquement fausse et présente l’Ukraine comme ayant aidé les Juifs dans l’Holocauste, tout en étant responsable de la mort de nombreuses personnes dans l’Holocauste et dans la série de troubles et de pogroms qui l’ont précédé.
Prétendre que l’Ukraine a choisi de sauver les Juifs était un choix deplacé comme s’il n’y avait pas de gens dans la salle qui connaissent bien l’histoire de l’Holocauste.
L’Holocauste est 1 et unique, et depuis on ne peut parler à tort et à travers et de comparer les horreurs du monde -aussi tragiques soient-elles – à un holocauste.
Gerard Rouah - décryptages 