le drame du XXIe siécle.

«‎On est prêts s’il le faut à mourir pour essayer de passer»

TOPSHOTS

Ces migrants honduriens, jeunes, femmes et enfants qui essaient de franchir de force la frontière américaine est un drame, un grand drame, le drame humanitaire du début du XXIe siécle comme le drame du réchauffement climatique et le drame du 11 Septembre 2001.

Mais là c’est la misére humaine qui est mise à nue, tout comme pour les migrants africains qui essaient d’arriver en Europe au fi de leur vie.
Ces migrants fuient la misère de leurs pays et veulent rejoindre l’Eldorado qui en réalité ne l’est plus puisque Europe et Etats Unis sont à leur périgée, mais relativement à leurs pays d’origine c’est toujours et encore pour ces migrants l’Eldorado.

A migrant family, part of a caravan of thousands traveling from Central America en route to the United States, run away from tear gas in front of the border wall between the U.S and Mexico in Tijuana

Maintenant se pose le probléme de l’Etat de droit des pays concernés.
Laisser cette ruée pénetrer par la force et leur volonté c’est detruire les frontiéres, créer un monde mondialisé sans frontiéres. L’Etat, le Droit n’existent plus, la France ne sera plus la France mais un amalgame de citoyens venus illegalement et vivant sur le territoire français, idem pour les Etats Unis et tout l’Occident .
Ce n’est pas possible ce serait l’anarchie sur terre. La terre n’est pas encore l’Eldorado, le Paradis ou chaque citoyen peut s’y mouvoir où bon lui semble sous une gouvernance unique mondiale.
Et le drame est là, à nos portes, un grand drame humanitaire qui continuera et n’est pas prêt de cesser. Pour le migrant l’espoir et le bonheur sont derriére ce mur frontiére, il faut le passer à tout prix quitte à y perdre sa vie. Tragique …. personne sur terre n’a de solution.

A LIRE OU A RELIRE SUR LE MEME THEME:

–  Arrivée massive de migrants à Montréal

–  2015, l’été des migrants, l’été meurtrier

– Les migrants de Jerusalem comme symbole mondial

– Des portes de la méditerranée aux portes du désert saharien et vice-versa

Laisser un commentaire