Pura Vida

Qu’est ce qui a fait pour que je puisse dépasser une paralysie psychologique et décider de faire le saut vers la Pura Vida.  Peut être que la premiere neige aidante, tout était blanc et effacait ce qui était hier, le fait que les paroles de Romain Gary “la vie devant soi” perdent à mon âge de leur intensité, et que ce qui ne peut se faire aujourd’hui  ne le sera pas forcemment demain,  et me trouvant entre 3 options, la neige m’offrant donc soit le retour à la routine à Atlit , soit  le saut vers l’inconnu , le nouveau ou le renouveau de l’avant covid , et avant que les choses n’empirent sous l’influence et les pressions des nouveaux nazis au pouvoir sur terre  pour un transhumanisme, Bill Gates, Klaus Schaub, la CIA, Harari, les GAFA, Trudeau, Macron et j’en passe… je ne veux pas ici me laisser emporter par la terreur de ces démons donc decision prise, me voila réservant avion, voiture, hotels et direction Pura Vida surtout que le trajet est rapide et direct.

Premiere impresssion à l’atterissage, le tiers monde dans toute sa splendeur, pas de beton, pas les super technologies mais un pays tropical, tout vert avec la Nature, premier singe qui me regarde, premiére salamandre, qui rumine, premiers chants des oiseaux tropicaux. Et pourtant les premières 24 h n’ont pas étè simple, depuis l’avion ou l’on me  separe de ma constante et fidèle compagne,  elle sur le passage et moi à l’autre bout, siege hublot, rien n’y fait une quebequoise masculine et plutôt mastodante qui refuse d’échanger sa place avec moi, et de l’autre coté 2 jeunes lesbiennes qui tentent d’affirmer sans cesse en public leurs embrassades. Puis,  à l’aeroport pas de carte Sims donc nous ne pourrons conduire de nuit jusqu’à l’hotel,- quelle chance lorsque je m’apercevrais le lendemain de l’état désastreux des routes  – il va falloir prendre un taxi et,  incroyable arrivé à l’hotel, toutes les lumieres sont éteintes, la réception est fermée et le gardien nous amene vers ce que je définirais plutot une chambre de bonne qu’une chambre d’hotel, ni table, ni ou poser ou accrocher la moindre affaire.

Bon un passage obligé à surmonter. Et me voila au Costa Rica … à suivre

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